Ancien Testament

Nouveau Testament

2 Rois 7:13-20 Martin 1744 (FMAR)

13. Qu'on prenne tout-à-l'heure cinq des chevaux qui sont demeurés de reste dans la ville ; car voilà c'est presque tout ce qui est resté du grand nombre des chevaux d'Israël, c'est là presque tout ce qui n'a point été consumé de cette multitude de chevaux d'Israël, et envoyons voir ce que c'est.

14. Ils prirent donc deux chevaux de chariot, et ainsi le Roi envoya après le camp des Syriens, en disant : Allez, et voyez.

15. Et ils s'en allèrent après eux jusqu'au Jourdain, et voilà, le chemin était plein de vêtements, et de hardes que les Syriens avaient jetées en se hâtant ; puis les messagers retournèrent, et le rapportèrent au Roi.

16. Alors le peuple sortit, et pilla le camp des Syriens, de sorte qu'on donna le sat de fine farine pour un sicle, et les deux sats d'orge pour un sicle, selon la parole de l'Eternel.

17. Et le Roi donna charge de garder la porte, au capitaine, sur la main duquel il s'appuyait ; et le peuple le foula à la porte, tellement qu'il mourut, suivant ce que l'homme de Dieu avait dit, en parlant au Roi lorsqu'il était descendu vers lui.

18. Car lorsque l'homme de Dieu avait parlé au Roi, en disant : Demain au matin à cette heure-ci, on donnera à la porte de Samarie les deux sats d'orge pour un sicle, et le sat de fine farine pour un sicle ;

19. Ce capitaine-là avait répondu à l'homme de Dieu, et avait dit : Quand maintenant l'Eternel ferait des ouvertures au ciel, ce que tu dis pourrait-il arriver ? Et l'homme de Dieu avait dit : Voilà, tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras point.

20. Il lui en arriva donc ainsi ; car le peuple le foula à la porte, de sorte qu'il mourut.

Lire chapitre complet 2 Rois 7