1. Ainsi, j’ai décidé de ne pas retourner chez vous, pour ne pas vous attrister de nouveau.
2. Car si je vous attriste, qui me donnera encore de la joie ? Celui que j’aurai attristé le pourrait-il ?
3. Voilà pourquoi je vous ai écrit comme je l’ai fait : je ne voulais pas, en arrivant chez vous, être attristé par les personnes mêmes qui devraient me donner de la joie. J’en suis en effet convaincu : lorsque j’éprouve de la joie, vous aussi vous en êtes tous heureux.