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Lévitique 7:1-19 La Bible en Français Courant (FRC97)

1. « Règles concernant le sacrifice de réparation : Il s’agit d’une offrande strictement réservée à Dieu.

2. On doit égorger l’animal à l’endroit où l’on égorge les animaux offerts en sacrifices complets, puis on asperge de son sang les côtés de l’autel.

3. On présente au Seigneur les morceaux gras suivants : la queue, la graisse qui recouvre les entrailles,

4. les deux rognons avec la graisse qui y adhère ainsi qu’aux flancs, et le lobe du foie qu’on détache en même temps que les rognons.

5. Le prêtre brûle le tout sur l’autel. C’est un sacrifice de réparation, consumé pour le Seigneur.

6. Seuls les hommes des familles sacerdotales peuvent manger de la viande de cet animal ; ils la consommeront dans un endroit réservé du sanctuaire, puisqu’elle est strictement réservée à Dieu.

7. Ces règles concernant le sacrifice de réparation sont identiques à celles concernant le sacrifice pour obtenir le pardon. La viande de l’animal revient au prêtre qui a présidé la cérémonie de pardon. »

8. « Lorsqu’un homme offre un sacrifice complet, la peau de l’animal revient au prêtre qui préside la cérémonie.

9. Les offrandes végétales, qu’elles soient cuites au four, dans la poêle ou sur la plaque, reviennent au prêtre qui préside la cérémonie.

10. Par contre les offrandes non cuites sont partagées à égalité entre les prêtres, aussi bien celles qui sont préparées avec de l’huile que les autres. »

11. « Règles concernant le sacrifice de communion offert au Seigneur :

12. Quand un sacrifice est offert pour accompagner un chant de louange, on apporte, en plus de l’animal à sacrifier, des gâteaux à l’huile cuits sans levain, des galettes sans levain arrosées d’huile et des gâteaux faits de farine pétrie avec de l’huile.

13. On apporte en outre une offrande de pain levé pour accompagner le sacrifice de louange.

14. On prélève sur ces offrandes une pièce de chaque espèce, pour le Seigneur ; ces gâteaux-là reviennent ensuite au prêtre qui a aspergé de sang les côtés de l’autel.

15. Quant à la viande de l’animal sacrifié, elle doit être consommée le jour même. On ne doit rien en garder pour le lendemain.

16. « Quand un sacrifice de communion est offert de manière spontanée ou pour accomplir un vœu, on peut manger une partie de la viande le jour même du sacrifice et une autre partie le lendemain.

17. S’il en reste le surlendemain, on doit la jeter au feu.

18. Si, le troisième jour, quelqu’un mange de la viande provenant du sacrifice, celui qui a offert le sacrifice ne peut pas obtenir la faveur du Seigneur : son sacrifice est tenu pour nul, car la viande est devenue impropre à tout usage religieux. Celui qui en mange se rend coupable d’une faute.

19. Si la viande est entrée en contact avec quelque chose d’impur, on ne doit pas la consommer, mais la jeter au feu.« Il faut être en état de pureté pour manger la viande du sacrifice.

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