Élisée chargea Guéhazi de lui dire : « Tu t’es donné beaucoup de peine pour nous. Que pouvons-nous faire pour toi ? Peut-on intervenir en ta faveur auprès du roi ou du chef de l’armée ? » – « Non ! merci, répondit-elle. Au milieu de mon peuple, je ne manque de rien. »