O monts de Guilboa,qu’il n’y ait ni rosée | ni pluie tombant sur vous,qu’il n’y ait sur vos pentes | plus de champs plantureux | d’où viennent des offrandes,là furent avilis | les boucliers des braveset celui de Saülque l’on n’enduira plus jamais | avec de l’huile.