Alors la route qui monte fait peur,la marche effraie.Les cheveux deviennent blancs comme un arbre en fleurs,le corps est lourd comme une sauterelle qui retombe à terre,la vie s’en va comme le fruit tombe de l’arbre.Oui, un jour, chacun s’en va vers la tombequi sera sa dernière maison.Et les pleureuses sont déjà dans la rue.